motosuisse Verband der Zweiradimporteure,Archives médias 2019 Précédents communiqués de presse (jusqu'en 2019)
 

ARCHIVES - 2019 : COMMUNIQUÉS MÉDIA MOTOSUISSE / OSMS

 

Communiqués médias concernant des thèmes actuels de la branche moto

Si vou savez des questions concernant des thèmes moto/scooter, contactez nous:

Office Suisse moto et scooter / Medienstelle motosuisse

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25 octobre 2019

TOUJOURS PLUS DE FEMMES CONDUISENT DES MOTOS ET DES SCOOTERS

(OSMS) 460'000 motos se déplacent régulièrement sur le réseau routier suisse. Et depuis longtemps, la pratique de la moto n’est plus un domaine exclusivement masculin. Près de 15 % de ces machines sont conduites par une femme et la tendance ne cesse d’augmenter. Dans le milieu urbain, la part des femmes conduisant des scooters est proche de 20 %. Et dès le 1er janvier 2021, lorsque l’âge minimal autorisé pour les véhicules de la classe 125 cm3 passera de 18 à 16 ans, la présence féminine devrait encore spectaculairement augmenter.

 

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Toujours plus de femmes conduisent des motos et des scooters

DEPUIS LONGTEMPS, LA PRATIQUE DE LA MOTO N'EST PLUS UNE DOMAINE EXCLUSIVEMENT MASCULIN

(OSMS) 460'000 motos se déplacent régulièrement sur le réseau routier suisse. Près de 15 % de ces machines sont conduites par une femme et la tendance ne cesse d’augmenter. Dans le milieu urbain, la part des femmes conduisant des scooters est proche de 20 %. Et dès le 1er janvier 2021, lorsque l’âge minimal autorisé pour les véhicules de la classe 125 cm3 passera de 18 à 16 ans, la présence féminine devrait encore spectaculairement augmenter.

 

Il était une fois l’époque où le conducteur d’une moto devait être musclé et qu’il devait maîtriser la technique; c’était... il était une fois, il y a bien longtemps! Les motos et les scooters modernes sont faciles à utiliser, ils sont fiables et s’adaptent parfaitement aux besoins individuels. C’est pour cela que les représentantes du sexe féminin ont depuis longtemps découvert la pratique de la moto et du scooter, qu’elles ont passé du siège de passagère à celui de conductrice. Des dizaines de milliers de Suissesses utilisent désormais, que ce soit dans leur vie quotidienne ou pendant leurs loisirs, des deux-roues motorisés de toutes les tailles et de toutes les catégories.

 

Motos: légèreté, attractivité, sécurité et facilité d’utilisation

L’industrie motocycliste a bien sûr une part importante dans ce développement – parallèlement, naturellement, à la prise de conscience générale de l’importance de l’égalité des sexes -, puisqu’elle a grandement facilité l’accessibilité et l’entretien des motos. Parmi ces évolutions, on notera:

- Diminution et possibilité de régler de façon individuelle la position de conduite, pour un équilibre plus élevé.

- Longueurs et positions des leviers – au guidon, ou aux pieds – réglables individuellement.

- Augmentation de la diversité – sur le plan technique et optique – des modèles proposés dans la classe moyenne.

- Standards de sécurité toujours plus élevés.

- La branche des accessoires s’investit désormais sur le thème «Les femmes au guidon».

- Développement d’équipements motocyclistes selon les besoins et les exigences féminines; aujourd’hui, on peut rouler en toute sécurité, tout en conservant son charme féminin.

 

Scooters: ils sont spécialement appréciés par les femmes entre 20 et 30 ans

Dans le secteur des scooters, la part féminine est encore plus élevée que dans le domaine des motos, spécialement pour la classe d’âge des 20 à 30 ans. Parmi les 275'000 véhicules urbains enregistrés en Suisse, 50'000 d’entre eux, soit 20 %, sont conduits par des femmes. On comprendra aisément les atouts de ce genre de véhicules pour le monde féminin: design élégant, utilisation facile grâce au changement de vitesse automatique et à la légèreté du véhicule, la présence d’un coffre pour le casque, les faibles coûts d’entretien et d’utilisation, sans oublier le côté multifonctionnel des scooters dans la ville et la proche agglomération.

 

 

 

 

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11 juillet 2019

POUR UNE FOIS, LE MOIS DE MAI NE FUT PAS TRÈS JOYEUX

(OSMS) Avec 25'923 nouvelles immatriculations, le marché suisse de la moto et du scooter termine les six premiers mois de l’année 2019 en-dessous des chiffres de l’année précédente. Le mois de mai, celui lors duquel, dit le dicton, «on peut faire ce qu’il nous plaît», n’a malheureusement pas été épargné par le froid et la pluie. Et comme cette période constitue toujours un moment clef pour les ventes... Ces chiffres, certes en baisse, rappellent néanmoins que le marché du deux-roues, dans notre pays, s’établit toujours à un niveau élevé.

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Nouvelles immatriculations motocyclistes, 1er semestre 2019

POUR UNE FOIS, LE MOIS DE MAI NE FUT PAS TRÈS JOYEUX

(OSMS) Avec 25'923 nouvelles immatriculations, le marché suisse de la moto et du scooter termine les six premiers mois de l’année 2019 en-dessous des chiffres de l’année précédente. Le mois de mai, celui lors duquel, dit le dicton, «on peut faire ce qu’il nous plaît», n’a malheureusement pas été épargné par le froid et la pluie. Et comme cette période constitue toujours un moment clef pour les ventes... Ces chiffres, certes en baisse, rappellent néanmoins que le marché du deux-roues, dans notre pays, s’établit toujours à un niveau élevé.

 

Les deux roues motorisés, qu’il s’agisse de motos ou de scooters, sont toujours très appréciés comme moyens de loisirs et de hobby dans le cœur du peuple suisse. Certes, un mois de mai froid et pluvieux a malheureusement ralenti l’euphorie née d’un excellent début de saison, lors des mois de mars et d’avril; avec 25'923 nouvelles immatriculations, le résultat du premier semestre est néanmoins réjouissant. Le marché global recule de 4,9 %, soit - 6,9 % dans le domaine des scooters (9145 pièces) et - 3,2 % dans celui des motos (16'270 unités). Si l’on prend en compte les chiffres en hausse des changements de propriétaires de véhicules d’occasion, on constate que le volume global du marché, en ce premier semestre 2019, est comparable à la même période 2018.

 

Les motos de grandes cylindrées sont les plus demandées

Les motos de grandes cylindrées, soit plus de 750 cm3 (4515 unités), voire plus de 1000 cm3 (5319) figurent toujours au plus haut niveau dans les goûts de la clientèle suisse. En 2018, cette part du marché avait même constitué plus de la moitié des nouvelles immatriculations (9834 unités). Le troisième segment le plus important est celui des motos de 500 à 750 cm3 (3217 unités).

 

La moto, objet de life-style

Les motos qui marient un look rétro attractif avec la plus moderne des techniques sont toujours très tendance, devenant ainsi un véritable objet de life-style urbain, tout en restant un moyen de plaisir et d’aventure total. Selon les prévisions des spécialistes du marché, ce développement, moins axé sur des valeurs de performances absolues, devrait se poursuivre à moyen et long terme.

 

La motorisation électrique n’a pas encore fait sa place

Les motos propulsées par des moteurs électriques n’ont quasi pas droit au chapitre: les 76 nouvelles immatriculations (73, l’an dernier) correspondent à une part de marché de seulement 0,5%. Les raisons ne sont pas à chercher dans une non-acceptation fondamentale de la technique électrique, mais sont bien de nature économique. L’industrie est actuellement incapable de proposer des solutions attractives et intéressantes financièrement – à cause du marché limité – qui pourraient être acceptées par ledit marché. Le même phénomène se retrouve autour des scooters «urbains»: seulement 592 scooters électriques ont été homologués en ce début d’année, soit 6,6% des nouvelles immatriculations de scooters.

 

 

 

 

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12 avril 2019

MOTO: MOINS D'ACCIDENTS QUE JAMAIS EN 2018

(OSMS) Développement positif du bilan des accidents de motos de 2006 à 2018:

Avec 42 tués, le chiffre de 2018 représente le plus bas jamais enregistré pour les conducteurs de motos et de scooters en Suisse. L’année précédente,  51 usagers de deux-roues à moteur avaient encore trouvé la mort sur les routes suisses. Les 3621 blessés représentent le deuxième plus petit nombre jamais recensé, bien que l’effectif total des deux-roues motorisés ait augmenté de manière marquante, à savoir de 600'000 (2006) à quelque 720'000 véhicules (2018), le kilométrage parcouru ayant lui aussi augmenté grâce à une météo superbe.

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Développement positif du bilan des accidents de motos de 2006 à 2018

Moto: moins d’accidents que jamais en 2018

(OSMS) Avec 42 tués, le chiffre de 2018 représente le plus bas jamais enregistré pour les conducteurs de motos et de scooters en Suisse. L’année précédente,  51 usagers de deux-roues à moteur avaient encore trouvé la mort sur les routes suisses. Les 3621 blessés représentent le deuxième plus petit nombre jamais recensé, bien que l’effectif total des deux-roues motorisés ait augmenté de manière marquante, à savoir de 600'000 (2006) à quelque 720'000 véhicules (2018), le kilométrage parcouru ayant lui aussi augmenté grâce à une météo superbe.

 

Chaque blessé et chaque tué de la route est un de trop. Malgré tout, les statistiques d’accidents de l’an passé concernant les conducteurs de deux-roues motorisés sont réjouissantes: alors qu’en 2017, 51 conducteurs/trices de motos et de scooters trouvaient encore la mort sur les routes suisses, le chiffre de 42 personnes pour 2018 est nettement moindre (–17,6 %). Parmi les blessés légers, le nombre a passé de 2695 (2017) à 2553 personnes (–5,3 %). Quant aux blessés graves, leur nombre s’est légèrement accru, passant de 1047 à 1068 personnes accidentées (+2,0 %). En tout, 3621 motards et scootéristes ont été blessés au cours de l’année dernière; c’est le deuxième chiffre le plus bas jamais atteint et représente un recul de 3,2 % par rapport à l’exercice précédent (3742 personnes).

 

Sensibilisation augmentée, progrès techniques marquants

La sensibilisation des conducteurs/trices de motos et de scooters, soutenue de manière durable par la branche du deux-roues – concernant par exemple des vêtements protecteurs bien visibles, une meilleure maîtrise de la conduite, un pilotage défensif, la participation à des cours de formation continue – se répercute de manière réjouissante sur le nombre d’accidentés, en recul depuis des années. Les techniques de sécurité en progrès  – freinage ABS même en virage, contrôle de traction, feux de jour LED, modes de conduite adaptables aux conditions réelles ainsi que d’autres systèmes d’assistance techniques – contribuent elles aussi à un gain réjouissant de sécurité.

 

Haute visibilité, conduite défensive et prédictive

Malgré cette évolution positive des statistiques d’accidents, leurs analyses confirment : le fait demeure, près de deux tiers des accidents impliquant des conducteurs/trices de motos ou de scooters sont dus à d’autres intervenants. Si bien qu’une conduite défensive, une visibilité aussi bonne que possible et une pré-vision conséquente restent toujours des conditions indispensables pour se déplacer en toute sécurité dans le trafic.

 

 

 

 

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14 mars 2019

DEBUTER LA NOUVELLE SAISON MOTO SANS SOUCI

(OSMS) Rouler à moto fait vraiment plaisir à condition de disposer d’une moto impeccable, d’un équipement adapté et d’être en bonne forme physique et mentale. A l’occasion du retour du printemps, l’Office suisse moto et scooter OSMS dispense quelques conseils pour débuter la saison moto 2019 sans ombrage.

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DEBUTER LA NOUVELLE SAISON MOTO SANS SOUCI

(OSMS) Rouler à moto fait vraiment plaisir à condition de disposer d’une moto impeccable, d’un équipement adapté et d’être en bonne forme physique et mentale. A l’occasion du retour du printemps, l’Office suisse moto et scooter OSMS dispense quelques conseils pour débuter la saison moto 2019 sans ombrage.

 

Les loisirs de la pratique de la moto ont toujours très fortement la cote auprès du peuple suisse. Ce qu’a derechef confirmé l’exposition nationale «Swiss-Moto» de fin février, visitée par plus de 70’000 fans de deux-roues. En ce réveil du printemps sous des températures plus clémentes, les motardes et motards suisses – près de 700’000 motos et scooters sont immatriculés dans notre pays – n’entendent pas qu’admirer et palper les machines, mais aussi rouler avec. Afin que la saison se déroule sans ombrage, voici quelques conseils de l’Office suisse moto et scooter OSMS pour une entrée de saison sans encombre.

 

Motos: contrôle par le concessionnaire

•  Un check-up chez l’agent spécialisé vaut toujours la chandelle. Il détecte d’éventuels

   défauts après la longue période d’immobilisation, contrôle et supervise la batterie, les

   pneus, les freins, la chaîne et tous les niveaux de liquides.

•  Seule une moto bien entretenue parcourt à la perfection et sans panne de nombreux

   kilomètres.

•  L’intervalle entre les services préconisé par le constructeur est à respecter.

 

Equipement: laisser à la garde-robe la veste d’été cool

•  Un bon équipement permet non seulement de rouler confortablement, mais aussi en

   toute sécurité.

•  Bottes moto, blouson, gants de motard ainsi qu’un casque homologué sont requis.

•  Il existe depuis longtemps des jeans attrayants dotés d’éléments de sécurité.

•  Pour encore davantage de sécurité, le marché propose des vêtements une pièce et

   deux pièces en cuir ou en textile avec des protections intégrées.

•  Les protections dorsales sont aussi utiles au quotidien qu’aux pilotes de course.

•  Important pour les nouveaux arrivants: à l’achat d’une moto, inclure absolument le prix

   de l’équipement. Ne pas faire des économies à mauvais escient!

•  Lors de l’achat d’un casque, veillez à l’ajustement parfait; un casque seyant augmente

   le plaisir de conduire et la sécurité. L’agent vous conseillera en conséquence.

•  Tout casque devrait être échangé au bout de 6 ans au maximum.

 

Aspirer le bonheur à pleins poumons – mais dans les limites!

•  La conduite d’une moto pose de plus hautes exigences sur le plan de la concentration
   et de la forme physique que celle d’une automobile. Seul qui monte sur sa moto en
   forme, reposé et complètement à son affaire, roule détendu et en sécurité.

•  Conduire de manière prévoyante, c’est conduire mentalement éveillé. Car un
   conducteur de deux-roues est toujours davantage exposé aux blessures qu’un
   automobiliste, vu l’absence de carrosserie, quelle que soit la situation de culpabilité
   lors d’un accident.

•  S’il fait bon «ressentir des papillons de printemps» lors de la première sortie sur sa
   moto adulée, il faut absolument rester raisonnable. Les automatismes et réflexes
   physiques et mentaux se sont un brin engourdis au cours de l’hiver et doivent être
   entraînés à nouveau.

•  Toujours être conscient de sa vitesse. Toutes les motos ne sont pas équipées d’un
   régulateur de vitesse.

•  Très important pour les nouveaux arrivants lors de l’achat d’une moto: la moto et son
   pilote doivent s’harmoniser réciproquement. La moto des rêves n’est pas toujours le
   meilleur choix. Un essai avec plusieurs machines en révélera davantage, tout comme
   les conseils judicieux du concessionnaire spécialisé.

•  Des cours de formation continue – même pour les motards chevronnés – améliorent
   la sécurité et font plaisir qui plus est. L’offre correspondante en cours de moniteurs de
   conduite et de clubs est très large et propose de quoi satisfaire toutes les exigences.

 

BONNE ROUTE ET UNE SAISON 2019 AUSSI VARIÉE QUE SÛRE !

 

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19 janvier 2019

LE MARCHE D'OCCASE MOTO EN PLEIN ESSOR

(OSMS) La popularité de la moto en tant qu’engin de loisir ne fléchit pas chez les Suisses. Cela n’est pas seulement souligné par les quelque 70’000 visiteuses et visiteurs de la Swiss-Moto zurichoise, la plus grande foire du deux-roues du pays, qui ouvre ses portes du 21 au 24 février, mais aussi par la forte croissance du nombre des changements de détenteur ces cinq dernières années sur le marché des occasions. Les 90’000 passages de main en main ont clairement compensé le léger déficit du marché des machines neuves.

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Motos                    

Le marché d’occase moto en plein essor

(OSMS) La popularité de la moto en tant qu’engin de loisir ne fléchit pas chez les Suisses. Cela n’est pas seulement souligné par les quelque 70’000 visiteuses et visiteurs de la Swiss-Moto zurichoise, la plus grande foire du deux-roues du pays, qui ouvre ses portes du 21 au 24 février, mais aussi par la forte croissance du nombre des changements de détenteur ces cinq dernières années sur le marché des occasions. Les 90’000 passages de main en main ont clairement compensé le léger déficit du marché des machines neuves.

 

Près de 90’000 motos et scooters ont changé de propriétaire en Suisse en 2018. Dont plus de 55’000 motos arborant plus de 125 cm3 de cylindrée. Ces chiffres marquent non seulement une hausse de quelque 20 pour cent par rapport à ceux de l’année 2013, mais correspondent à plus du double de celui des deux-roues neufs vendus dans le même laps de temps.

 

La nette augmentation des ventes d’occases toutes catégories et toutes classes a différentes causes: premièrement, suite au choc du franc et des ventes record de machines neuves ayant découlé des chutes de prix massives, la normalisation du marché des engins neufs était prévisible. Ensuite, les fabricants ont marqué une forte retenue en matière de création de nouveautés due à l’adaptation de leurs gammes aux nouvelles normes légales plus sévères, ce qui a rendu d’autant plus attractif le marché de l’occasion.

 

La Suisse est le n°6 en Europe

Malgré un léger recul l’an passé, le marché suisse des machines neuves évolue lui aussi à un niveau élevé. En 2018, plus de 42’000 motos et scooters neufs ont trouvé preneur en Suisse. Ce qui établit la Suisse au 6e rang derrière les „Big Five“, à savoir l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne.

 

Au total, 900’000 motos, scooters et cyclomoteurs sont actuellement immatriculés dans notre pays. Le chiffre d’affaires de la branche est estimé à plus d’un milliard de nos francs par l’Office suisse moto et scooter.

 

 

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9 janvier 2019

IMMATRICULATIONS MOTOS ET SCOOTERS NEUVES 2018:
HAUT NIVEAU MALGRÉ QUELQUES PERTES

(OSMS) Avec 24’544 nouvelles immatriculations, le marché suisse 2018 de la moto a bouclé un poil en dessous des chiffres de l’exercice précédent. Mais il se maintient à un haut niveau. Le secteur des scooters a lui aussi reculé pour atteindre un total de 17’518 unités. Le marché total des motos et scooters neufs a diminué de 7.5 %.

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Immatriculations motos neuves 2018                     

Haut niveau malgré quelques pertes

(OSMS) Avec 24’544 nouvelles immatriculations, le marché suisse 2018 de la moto a bouclé un poil en dessous des chiffres de l’exercice précédent. Mais il se maintient à un haut niveau. Le secteur des scooters a lui aussi reculé pour atteindre un total de 17’518 unités. Le marché total des motos et scooters neufs a diminué de 7.5 %.

 

La popularité de la moto en tant qu’engin de détente et de loisirs n’a subi aucune entorse auprès du peuple suisse. Certes, on n’a plus égalé les résultats des années record 2015 à 2017 ; n’empêche que la demande en motos neuves reste remarquable. Avec 24'544 nouvelles immatriculations, on a manqué de 8.8 % le score de l’année précédente. Quant aux scooters, ils ont endossé une baisse de la demande de 5.8 % pour atteindre 17'518 unités. Le marché total 2018 des nouvelles immatriculations de motos et de scooters s’est élevé à 42'062 unités (moins 7.5 %).

 

Les raisons de ce recul sont d’origines diverses. C’est un fait, les baisses de prix dues au „choc du franc suisse“ du printemps 2015 ont perdu leur attrait exceptionnel. En outre, les fabricants ont lancé moins de véritables nouveautés en 2018, vu l’adaptation de leur gamme de modèles aux nouvelles normes antibruit et antipollution (Euro 4). Tout en considérant que les chiffres de 2017 ont été dopés par la commande unique de 600 motos de l’armée suisse. Mais si l’on considère le taux nettement en hausse des changements de propriétaire sur le marché de l’occasion, le volume cumulé du marché de la moto 2018 est resté pratiquement aussi élevé que l’année précédente.

 

Les Suisses affectionnent les grosses motos

Les motos de grosse cylindrée jaugeant plus de 1000 cm3 tiennent toujours le haut du pavé parmi la clientèle helvétique. En 2018, leur quote-part s’est maintenue à près d’un tiers (8’184 unités), suivies par le segment des machines de 500 à 1000 cm3 de cylindrée (6’982 unités).

 

Lifestyle urbain

Particulièrement convoitées en 2018, les motos alliant un look rétro attractif à la technique la plus moderne, suivant ainsi le trend urbain vers le style de vie et l'expérience. Une tendance appelée à se poursuivre en 2019 si l’on se fie aux pronostics des spécialistes du marché.

 

La technique de l’électrique n’offre pas encore de solutions

Pour l’instant, l’électrotechnique n’a encore aucune chance de s’imposer dans le secteur de la moto: les 127 nouvelles immatriculations ne représentent que 0.5 % de part de marché. Les quelques modèles représentant l’offre actuelle n’ont atteint la maturité ni sur le plan technique, ni côté prix. L’industrie n’est pas encore à même de proposer des solutions compatibles avec les exigences du marché. Il en va de même pour les scooters à tendance urbaine: les 715 e-scooters neufs immatriculés ne représentent que 4.1 % du marché total 2018 du scooter.

 

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14 décembre 2018

DÈS 2021: ROULER À MOTO À 16 ANS

(OSMS) Le Conseil fédéral a décidé, dans le cadre de la révision du Règlement sur l’admission de personnes et de véhicules à la circulation (VZV), que les jeunes pourront dès 2012 conduire  des motos et des scooters d’une cylindrée 125 cm3 dès l’âge de 16 ans. L’association de la branche motosuisse prend connaissance avec satisfaction de cet ajustement au droit de l’UE.

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DÈS 2021: ROULER À MOTO À 16 ANS

 

Le Conseil fédéral a décidé, dans le cadre de la révision du Règlement sur l’admission de personnes et de véhicules à la circulation (VZV), que les jeunes pourront dès 2012 conduire  des motos et des scooters d’une cylindrée 125 cm3 dès l’âge de 16 ans. L’association de la branche motosuisse prend connaissance avec satisfaction de cet ajustement au droit de l’UE.

 

Dès l’année 2021, les motos d’une cylindrée de jusqu’à 125 cm3 pourront être conduites dès la 16e année. Alors qu’aujourd’hui, l’âge minimum pour la catégorie A1 est de 18 ans. Le Conseil fédéral harmonise ainsi la réglementation suisse au droit en vigueur dans l’UE. Comme dans les pays de l’UE avoisinants, les jeunes peuvent rouler en moto et en scooter développant au maximum 11 kW (15 ch) dès 2021. La catégorie des motocycles de 125 cm3 est attractive sur le plan commercial grâce à son expansion dans toute l’Europe, sa technique et son équipement sécuritaire sont au top du développement. Tels que les systèmes de freinage antiblocants prescrits par le législateur.

 

Catégorie AM: 45 km/h dorénavant dès 15 ans

En outre, le Conseil fédéral a décidé que dorénavant, les motocycles légers jusqu’à 50 cm3 (catégorie AM) à vitesse maxi de 45 km/h pourront être conduits dès l’âge de 15 ans (à ce jour 16 ans). Ici aussi, il s’agit d’une harmonisation avec nos pays voisins.

 

Grosses motos: fini l’accès „direct“

Par contre, le Conseil fédéral s’oppose à la formation directe à la conduite de motos à la puissance non limitée de la catégorie A. Jusqu’alors on pouvait y accéder directement si l’on était âgé de 25 ans et plus. A partir de 2021, il faudra avoir conduit pendant deux années au minimum une moto d’une puissance maxi de 35 kW (48 ch). Ici, il n’y aura malheureusement pas d’ajustement à l’UE; en Allemagne, en Italie et en Autriche, l’accès direct est possible dès 24 ans.

 

„Nos objectifs se sont réalisés“

Néanmoins satisfait par les décisions du Conseil fédéral, le président de l’association motosuisse Roland Müntener déclare: „Après huit ans de discussions parfois vives et émotionnelles, on a prêté l’oreille aux requêtes de l’industrie, du commerce, mais aussi aux désirs des usagers. L’harmonisation de l’âge en vigueur dans l’UE pour les 125 et 50-cm3 nous fait bien sûr grand plaisir. Il y a de cela huit années, rares ont été ceux nous accordant une chance réelle de faire passer nos objectifs – et voici qu’ils sont devenus réalité. C’est un résultat remarquable qui a été induit par motosuisse  et mené à bien par le Conseil fédéral. Nous en sommes fiers! J’en profite pour exprimer ma reconnaissance au conseiller national Walter Wobmann (UDC), dont le soutien a également contribué au succès. Un petit bémol: nous devons encore patienter jusqu’au 1er janvier 2021 avant l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation. Mais les divers offices ont besoin de temps pour s’adapter à toutes les décisions du Conseil fédéral.“

 

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11 mai 2018

BPA: LE BÂTON, PAS LA CAROTTE POUR LES JEUNES

(OSMS) Le bureau de prévention des accidents (bpa) montre notre jeunesse de l’index – bien que les Suisses âgés de 15 à 17 ans affichent le plus faible quotient d’accidents de la route de toute l’Europe! Arguant les «risques spécifiques aux jeunes», le bpa veut continuer à mettre les bâtons dans les roues de la jeunesse et la contrôler encore davantage. Entre autres, les jeunes de 16 ans se voient supprimé l’accès à la moto.

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COMMUNIQUE AUX MEDIAS du 11 mai 2018

 

BPA: LE BÂTON, PAS LA CAROTTE POUR LES JEUNES

 

Le bureau de prévention des accidents (bpa) montre notre jeunesse de l’index – bien que les Suisses âgés de 15 à 17 ans affichent le plus faible quotient d’accidents de la route de toute l’Europe! Arguant les «risques spécifiques aux jeunes», le bpa veut continuer à mettre les bâtons dans les roues de la jeunesse et la contrôler encore davantage. Entre autres, les jeunes de 16 ans se voient supprimés l’accès à la moto.

 

Dans son récent communiqué aux médias «Sécurité des jeunes de 15 à 17 ans dans la circulation routière» le bpa commence par un compliment: «Sur les routes suisses, seuls 4,6 de jeunes âgés de 15 à 17 ans décèdent en moyenne par an ..., c’est la valeur la plus basse d’Europe.» Ce nombre inclut tous les risques de la circulation routière (auto, moto, vélo, piétons).

 

Puis soudain, le bpa se met à tirer à boulets rouges. En commençant par «les risques spécifiques à la jeunesse peuvent avoir des conséquences désastreuses s’ils sont combinés aux véhicules à moteur» dont font partie «le penchant pour des comportements risqués, l’influence accrue des jeunes du même âge et l’accès à l’alcool dès l’âge de 16 ans» font que des contrôles doivent être effectués «avant tout les nuits de week-ends» afin de réprimer «la conduite sous influence de substances» ainsi qu’une «vitesse inadaptée».

 

Distorsion des faits

Le bpa est pour le maintien de l’interdiction aux jeunes de conduire des motos de 125 cm3 dès l’âge de 16 ans dans le cadre de la révision de la réglementation des permis de conduire en cours. Le bpa note: «Les jeunes causent particulièrement souvent des accidents lorsqu’ils se déplacent à moto ... les jeunes âgés de moins de 18 ans ne devraient être autorisés à conduire que des motos dont la vitesse est limitée à 45 km/h – conformément à la nouvelle catégorie de permis de conduire AM de l’Union Européenne

 

Ceci est une complète distorsion de la réalité: en Allemagne, en France, en Italie et en Autriche, cela fait belle lurette que les ados de 16 ans peuvent rouler sur des motos et des scooters de 125 cm3 limités à 11 kW (15 ch), et la catégorie AM mentionnée par le bpa est déjà accessible aux jeunes europeéens dès l‘âge de 14, 15 ou 16 ans!

 

Polémique inappropriée

D’autre part, le bpa est censé être au courant de ce que les motos de 125 cm3 modernes dotées d’un moteur quatre-temps sont largement plus simples à piloter – et donc plus sûres – que les deux-temps de 50 cm3 vétustes. Il en va de même pour les véhicules roulant à 45 km/h de la catégorie AM comparés aux cyclomoteurs actuels astreints à 30 km/h. Dans les autres pays d’Europe, on a depuis bien longtemps tenu compte de ces circonstances, il n’y a qu’en Suisse qu’on en est resté au Moyen-Age à ce propos.

 

Toutes les statistiques attestent que le risque d’accidents graves de motos ont diminué de manère marquante dans toutes les catégories d’âge malgré un parc de véhicules massivement augmenté.

 

L’Association des importateurs suisses de motos et scooters motosuisse s’insurge donc avec vigueur contre cette polémique nulle et non avenue du bpa, surtout contre la citation incorrecte de la réglementation en vigueur dans le contexte européen.

 

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27 fevrier 2018

LA PERCÉE DE L'E-MOTO: PAS POUR DEMAIN

(OSMS) Contrairement au marché de l’automobile, celui de la moto et du scooter n’est guère fourni en modèles à propulsion alternative électrique, cette technologie ne rencontrant pas d’écho auprès des usagers. L’e-moto n’est actuellement pas apte à satisfaire aux exigences des consommateurs sur les plans de l’autonomie, des performances, du poids, du life-style et du prix. L’échéance du remplacement du moteur thermique traditionnel par la technique électrique est encore bien lointaine.

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La percée de l’e-moto: pas pour demain

(OSMS) Contrairement au marché de l’automobile, celui de la moto et du scooter n’est guère fourni en modèles à propulsion alternative électrique, cette technologie ne rencontrant pas d’écho auprès des usagers. L’e-moto n’est actuellement pas apte à satisfaire aux exigences des consommateurs sur les plans de l’autonomie, des performances, du poids, du life-style et du prix. L’échéance du remplacement du moteur thermique traditionnel par la technique électrique est encore bien lointaine.
 

La moto est toujours appréciée en Suisse en tant qu’engin récréatif et de loisirs. Avec 26'942 motos et 18’545 scooters, 2017 représente le deuxième meilleur score des dernières décennies en termes de nouvelles immatriculations. Mais seul 1,2 % de cet effectif représente des deux-roues à propulsion électrique. A savoir tout juste 73 unités côté motos (0,3 % de part de marché). Pour ce qui est des scooters utilisés surtout en ville et en agglomération ainsi que sur courtes distances, leur nombre s’élevait à 476  (2,6 % parts de marché).
 

Maigre autonomie, poids conséquent, prix élevés

Cette existence en catimini des motos et des scooters électriques et le faible intérêt que porte la clientèle au deux-roues à propulsion électrique ont diverses raisons. Comme les motos et les scooters, vu leur conception, disposent de beaucoup moins d’espace de rangement que les automobiles pour le stockage de sources d‘énergie, les performances de roulage et l’autonomie possibles sont limitées. Pour les virées du week-end, voire les longs voyages en vacances, les réserves d’énergie embarquées sont carrément insuffisantes.

De plus, l’énorme encombrement des lourdes batteries rend impossible un concept de véhicule dynamique au prix avantageux. L‘absence de sonorité moteur et les entraves à un design attractif entrent également en considération pour un véhicule utilisé pratiquement à 100 % comme engin récréatif doté d’un grand facteur émotionnel.

Avant que la science n’ait trouvé des nouvelles solutions révolutionnaires pour ce qui est de la technique de stockage de l’énergie, tous les fabricants de motos renommés  n’ont d’autre choix que de se concentrer sur le développement de leurs modèles à propulsion conventionnelle.

 

 

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15 janvier 2018

IMMATRICULATIONS DE MOTOS NEUVES 2017: STABLES A UN HAUT NIVEAU

(OSMS) Avec 26’942 immatriculations de véhicules neufs, la branche suisse de la moto a réalisé son deuxième meilleur résultat des 20 années écoulées. On a frôlé le record de 2015 fort de 27'319 nouvelles immatriculations. L’accroissement par rapport à l’exercice précédent est de 2.1 %.

 

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L’engouement pour la moto en tant qu’engin récréatif et de loisirs reste intact. Malgré une météo printanière et estivale pas exagérément clémente en 2017, la demande en motos neuves est restée forte. Avec 26'942 nouvelles immatriculations, le résultat de l’année précédente a été surpassé de 2.1 %. Le marché total 2017 des motos et scooters neufs s’est élevé à 45'487 unités (moins 0.9 %).

 

Nouvelle classe moyenne attractive

Traditionnellement, les motos de forte cylindrée, situées dans la gamme supérieure des prix et jaugeant plus de 1000 cm3, tiennent largement le haut du pavé en Suisse. En 2017, leur part des nouvelles immatriculations s’élevait à 31.9 %, ce qui équivaut à un recul de 1.5 % par rapport à l’an passé. Par contre, une nouvelle catégorie moyenne comptant des cylindrées de 500 à 1000 cm3 hautement attractive sur les plans de la technique, du look et du rapport prix/prestations trouve de plus en plus de résonance auprès du jeune public ainsi que chez les nouveaux arrivants; en 2017, la part du marché de ce segment s’élevait déjà à 50.5 % (plus 4.9 %).

 

Lifestyle et expérience

Toujours soumises à une forte demande, les motos rétro et vintage, combinant une apparence classique attractive à la technique dernier cri, suivant ainsi la tendance généralisée du lifestyle et du vécu. La propulsion électrique n’a pas encore envahi le secteur de la moto: les faibles 73 nouvelles immatriculations représentent 0.3 % de parts de marché. Leur faible autonomie, leur technique peu aboutie et leur prix élevé entravent une percée.

 

Diminution des ventes de scooters

En 2017, 18’545 scooters ont trouvé preneur, à savoir 4.5 % de moins qu’en 2016. Une baisse des achats spontanés due au manque de périodes prolongées de beau temps,  ainsi qu’un manque partiel de véhicules homologués aux normes Euro 4, ont mené à un recul. Les scooters à propulsion électrique vendus au nombre de 472 exemplaires, représentant 2.6 % de parts de marché, restent donc marginaux.

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3 novembre 2017

PERMIS DE CONDUIRE POUR MOTOS ET SCOOTER –
L’ASSOCIATION DE LA BRANCHE LANCE UNE PETITION

La mise en consultation de la nouvelle ordonnance réglant l’admission des personnes à la circulation routière (P-OAPC), qui inclut également une révision des prescriptions concernant les permis de conduire pour motos et scooters, a terminé. MOTOSUISSE, l'association de la branche, lance une pétition pour se défrendre contre des nouveaux obstacles et des modifications concernant les âges minimum.

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17 octobre 2017

PERMIS DE CONDUIRE POUR MOTOS ET SCOOTER –
L’ASSOCIATION DE LA BRANCHE SE REBIFFE

La mise en consultation de la nouvelle ordonnance réglant l’admission des personnes à la circulation routière (P-OAPC), qui inclut également une révision des prescriptions concernant les permis de conduire pour motos et scooters, dure encore jusqu’au 26 octobre 2017. On y prévoit des larges adaptations au droit UE en vigueur, mais aussi des nouveaux obstacles et des modifications concernant les âges minimum.

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Révision des permis de conduire pour motos et scooters

L’Association de la branche se rebiffe

La mise en consultation de la nouvelle ordonnance réglant l’admission des personnes à la circulation routière (P-OAPC), qui inclut également une révision des prescriptions concernant les permis de conduire pour motos et scooters, dure encore jusqu’au 26 octobre 2017. On y prévoit des larges adaptations au droit UE en vigueur, mais aussi des nouveaux obstacles et des modifications concernant les âges minimum.


L’Association suisse de la branche moto et scooter motosuisse désapprouve en particulier l’abolition de l‘„obtention directe“ pour la cat. A (>35 kW de puissance moteur) et souhaite que l’âge minimum passe de 25 à 24 ans comme c’est le cas en Allemagne, en Autriche et en Italie. motosuisse appuie son argumentation sur le nombre d’accidents ayant nettement diminué malgré une augmentation massive de l’effectif des motos. Tandis que le nombre de motos s’est accru de 490’000 à quelque 700’000 véhicules de 2000 à 2016, les accidents mortels à eux seuls ont diminué de plus de moitié.

 

motosuisse s’engage aussi pour que le permis cat. A limité (<35 kW de puissance moteur) puisse toujours être passé après deux ans et non comme proposé au bout de quatre ans, et ce sans examen pratique supplémentaire. motosuisse rend attentif au fait qu’aucun autre pays européen n’applique une telle réglementation. L’âge d’accession à la cat. „A limitée“ est à maintenir à 18 ans, ce qui correspond à la législation de nos pays voisins. Et les détenteurs du permis de conduire cat. B (auto) ne doivent, selon motosuisse, toujours n‘être astreints qu’au cours pratique de base.

 

Pour la cat. A1 (125 cm3, max. 11 kW de puissance moteur), l’Association de la branche motosuisse approuve la proposition de la Confédération selon laquelle, à l’instar des pays environnants, soit introduit l’âge d’accès de 16 ans, ce qui soulagerait  la catégorie des 50-cm3 de ses moteurs deux temps peu écologiques.

 

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5.09.2017

MOTO: L’ABS ET «L’ABS VIRAGES» S'IMPOSE

Depuis l’introduction, au début de l’année, des normes Euro 4, tous les nouveaux modèles de motos et de scooters de plus de 125 cm3 homologués doivent être équipés d’un système électronique de sécurité, l’ABS (antiblocage de freinage). Mieux: les spécialistes de la branche ont déjà fait un pas supplémentaire en proposant un système ABS également efficace en virages.

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Les nouveaux modèles de motos et de scooters sont tous équipés d’un système de freinage ABS

 

MOTO: L’ABS ET «l’ABS VIRAGES» S’IMPOSE

 

(OSMS) Depuis l’introduction, au début de l’année, des normes Euro 4, tous les nouveaux modèles de motos et de scooters de plus de 125 cm3 homologués doivent être équipés d’un système électronique de sécurité, l’ABS (antiblocage de freinage). Mieux: les spécialistes de la branche ont déjà fait un pas supplémentaire en proposant un système ABS également efficace en virages.

 

Actuellement, l’offre en Suisse de motos et de scooters comprend 609 modèles différents. 549 d’entre eux sont des véhicules homologués pour la route, le reste se composant de deux-roues tous terrains pour la pratique sportive. Tous les nouveaux modèles homologués en 2017, qu’il s’agisse de motos ou de scooters, doivent être équipés d’un système électronique d’antiblocage des freins (ABS), pour répondre aux nouvelles normes Euro 4; ces systèmes assurent une efficacité de freinage optimale en cas d’urgence et/ou sur des terrains glissants. Motos et scooters de plus petites cylindrées, de 50 à 125 cm3, sont également équipés d’un tel système de sécurité. La liberté est laissée aux constructeurs de choisir entre un ABS électronique et un système de freinage combiné mécanique.

 

Dès avant l’introduction d’un ABS obligatoire, la grande majorité des motos et des scooters était déjà équipée d’un système de sécurité ABS. En 2016, c’était le cas pour 74% des deux roues motorisés immatriculés en Suisse, alors qu’on arrivait quasi à un taux de 100% pour les motos.

 

«L’ABS virages» est déjà sur le marché

Les spécialistes de la branche ont déjà fait un pas supplémentaire dans le domaine de la sécurité. En plus des systèmes d’assistance électronique – comme le contrôle de traction ou différentes cartographies de gestion du moteur pour s’accorder aux conditions météorologiques et/ou à l’état de la route – tous les grands constructeurs proposent pour leurs modèles sport et tourisme de grosses cylindrées, un système que l’on pourrait baptiser «l’ABS virages». Grâce à celui-ci, il est possible même sur l’angle d’assurer une décélération optimale, sans pour autant que la roue avant ne se bloque et provoque ainsi une chute. On peut désormais imaginer que ce système techniquement complexe d’ABS qui fonctionne en virages sera, à moyen terme, plus seulement réservé aux motos de la classe supérieure, mais bien devenir également un équipement standard dans les petites cylindrées et les classes moyennes.

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30.07.2017

IL N'A JAMAIS ETE AUSSI SUR DE ROULER A MOTO

Le nombre d’accidents impliquant des motos et des scooters a diminué de manière drastique lors de la dernière décennie. Malgré une augmentation importante du parc total de véhicules motorisés à deux roues, le nombre d’accidents a reculé de manière significative.

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IL N'A JAMAIS ETE AUSSSI SUR DE ROULER A MOTO

(OSMS) Le nombre d’accidents impliquant des motos et des scooters a diminué de manière drastique lors de la dernière décennie. Malgré une augmentation importante du parc total de véhicules motorisés à deux roues – on est passé de 600'000 unités en 2006 à plus de 700'000 en 2016 -, le nombre d’accidents a reculé de manière significative, aussi bien ceux qui ont eu des conséquences malheureusement mortelles, que ceux qui se sont terminés par des blessures, plus ou moins sérieuses.

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes: il y a dix ans, 69 conducteurs (conductrices) de motos ou de scooters avaient perdu la vie sur le réseau routier suisse; en 2016, ce chiffre a été ramené à 43 (- 36,7%). Dans le même temps, le nombre de blessures graves a passé de 1482 (2006) à 999 (- 32,6%), celui de blessures légères, de 3451 à 2477 (- 28,2%).

 

Améliorations techniques et sensibilisation développée

C’est une Lapalisse de rappeler que les conducteurs et conductrices de véhicules à deux roues ne sont pas protégés par une carosserie; ainsi, lors de collisions ou de chutes, ils sont logiquement moins bien protégés que les conducteurs et passagers des véhicules à quatre roues. Mais, les progrès techniques apportés dans le domaine de la sécurité des motocycles – système de freinage ABS, contrôle de traction, éclairage de jour LED, choix de différents modes de conduite et autres systèmes d’assistance électronique – et les efforts importants effectués par la branche du deux-roues dans des opérations de sensibilisation de l’utilisateur – utilisation d’équipements de protection bien visibles, amélioration de la maîtrise de la conduite, accès à des cours de perfectionnement – ont eu des effets très nets sur la diminution spectaculaire du nombre d’accidents.

 

Meilleure visibilité, conduite prévoyante

Selon le Bureau suisse de prévention des accidents (BPA), dans les deux tiers des accidents dans lesquels ils sont impliqués, les conducteurs ou conductrices de motos ou de scooters ne sont pas responsables. Un rappel supplémentaire de l’importance pour les utilisateurs de deux-roues de se ménager la visibilité la plus importante possible, d’adapter une conduite axée sur la prévention, donc l’anticipation; ce sont les meilleurs moyens de se protéger par rapport aux autres usagers de la route.

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13.06.2017

NOUVELLES RÉGLEMENTATIONS POUR VÉHICULES D'EXAMEN

Le Conseil fédéral a proposé de modifier les exigences applicables aux véhicules d‘examen des motocycles de la catégorie A. II prévoit ainsi d‘éliminer les prescriptions relatives à la cylindrée minimale et d‘adapter celles applicables à la puissance minimale.

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NOUVELLES RÉGLEMENTATIONS POUR VÉHICULES D'EXAMEN

Le Conseil fédéral a proposé de modifier les exigences applicables aux véhicules d‘examen des motocycles de la catégorie A. II prévoit ainsi d‘éliminer les prescriptions relatives à la cylindrée minimale et d‘adapter celles applicables à la puissance minimale.

 

Les motocycles de la catégorie A, limitée ou sans restriction, dont la cylindrée est inférieure à 400 cm3 ou 600 cm3 conviennent tout particulièrement aux débutants. Leur poids, inférieur à celui des plus grosses cylindrées, les rend plus maniables. La pratique montre que les motocyclistes souhaitent passer l‘examen pratique avec le motocycle qu‘ils ont utilisé pour leur apprentissage de la conduite. La cylindrée minimale des véhicules d‘examen ne doit pas pousser les conducteurs novices à acheter une plus grosse cylindrée alors qu‘ils se sentent davantage en sécurité sur une plus petite.

 

Le Conseil fédéral prévoit ainsi d‘éliminer les prescriptions relatives à la cylindrée minimale et d‘adapter celles applicables à la puissance minimale.

 

Afin de tenir compte de ces circonstances et jusqu‘à ce que le Conseil fédéraI ait statué sur I‘adaptation desdites exigences, l’OFROU édicte les instructions ci-après, conformément à l’art. 150, al. 6, OAC:

 

1. En dérogation à l‘annexe 12, ch. V, OAC, les motocycles suivants sont égaIement autorisés pour l‘examen pratique de conduite:

 

Catégorie A, sans restriction :

un motocycle biplace sans side-car, d’une puissance minimale de 35 kW.

 

Catégorie A, limite 35 kW :

un motocycle biplace sans side-car, dont la puissance n‘excède pas 35 kW, à l‘exclusion des motocycles de la sous-catégorie A1.

 

2. Les présentes instructions entrent en vigueur le 8 juin 2017 et s‘appliquent jusqu‘à l’entrée en vigueur de la prochaine révision des exigences applicables aux véhicules d’examen des motocycles de la catégorie A.

 

Les instructions de I‘OFROU du 15 mars 2016 ainsi que les instructions transitoires de I‘OFROU du 12 mai 2016, toutes deux relatives aux véhicules d’examen des motocycles de la catégorie A, sont abrogées.

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24.03.2017

LA BRANCHE MOTO EN SUISSE 2016 EN CHIFFRES

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LA BRANCHE MOTO EN SUISSE 2016 EN CHIFFRES

 

 

 CHF

en %

Ventes neuves moto & scooter

  389'400'000.00

35.14

Occasions moto & scooter (sans occasions privée)

  181'000'000.00

16.30

Ventes totales

  570'400'000.00

51.44

 

 

 

Service/Reparations

  226'875'000.00

20.50

Pièce de rechanges

    67'085'000.00

6.05

Pneus

  102'070'000.00

9.21

Total Service, pièce de rechanges, pneus

  396'030'000.00

35.76

 

 

 

Accessoires

63'160'000.00

5.70

 

 

 

Vêtements / Equipement pilotes

78'645'000.00

7.10

 

 

 

 

 

 

TOTAL

1'108'235'000.00

100.00

 

Statistique ventes des motos et scooter neuves 2012 - 2016:

 

Anné

Motos

Scooters

Total

2012:

23'464

22'140

46'710

2013:

21'645

22'579

44'223

2014:

23'341

21'383

44'724

2015:

27'306

21'507

48'813

2016:

26'391

19’506

45’897

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16.01.2017

IMMATRICULATIONS DE MOTOS NEUVES 2016: NIVEAU ÉLEVÉ

Comme on pouvait s’y attendre, le chiffre record des nouvelles immatriculations de motos de 2015 n’a pas entièrement été reconduit en 2016: les 26’391 motos neuves vendues représentent cependant le deuxième meilleur résultat de ces 20 dernières années.

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IMMATRICULATIONS DE MOTOS NEUVES 2016: NIVEAU ÉLEVÉ

Comme on pouvait s’y attendre, le chiffre record des nouvelles immatriculations de motos de 2015 n’a pas entièrement été reconduit en 2016: les 26’391 motos neuves vendues représentent cependant le deuxième meilleur résultat de ces 20 dernières années.

 

En 2015, les prix bas découlant de la levée du taux plancher de change du franc suisse par rapport à l’euro  ainsi que de la météo idéale régnant durant l’été et l’automne ont entraîné une forte demande du côté des motos. Le résultat de ventes record n’a pu être tout à fait maintenu en 2016. Toutefois, à hauteur de 26’391 motos neuves vendues – représentant une baisse de 3.4 % –, le résultat a surpassé les attentes de la branche. Compte tenu de la météo pluvieuse au printemps et en été de l’exercice écoulé, c’est un résultat fort positif.

 

Les grosses cylindrées toujours dans le vent

Des 26'391 motos neuves vendues en 2016, 20'864 respectivement 79 % jaugent plus de 500 cm3. Alors qu’en 2015, leur proportion était de 75%. Particulièrement demandés, les gros cubes de tourisme et les sportives de classe moyenne de 600 à 1'000 cm3 de cylindrée. Les customs et classiques ainsi que les cruisers ont également bénéficié d’un bon écho. Du côté des motos électriques (scooters non compris), la demande s’est accru de 83 unités en 2015 à 113 pièces en 2016, mais leur proportion n’excède pas un maigre 0.5 %. La raison de la demande demeurant toujours confidentielle réside en leur trop faible autonomie et leur prix relativement élevé.

 

Davantage de jeunes acquéreurs

Des années durant, la branche de la moto s’est trouvée confrontée à une pénurie de jeunes clients. Ces deux ou trois dernières années, les importateurs et les agents constatent un intérêt croissant de la part de cette classe d’âge pour la moto. Les causes en sont des prix avantageux pour des machines d’accès et de classe moyenne, des nouvelles citadines attractives, la densité du trafic dans les cités et les agglomérations ainsi que la tendance générale à un style de vie et l’aventure.

 

Moins de scooters vendus

En 2016, 19’506 nouveaux scooters ont trouvé preneur, 9.7 % de moins que durant l’année précédente. Les scooters – à la différence des motos – sont davantage acquis de manière spontanée. Si bien qu’une météo maussade sape davantage les velléités d’achat. Les scooters électriques ont passé de 405 à 534 unités, leur part des ventes de scooters neufs s’élève ainsi à 2.7 % (2015: 1.8%).

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